Nous devons pour cela promouvoir une sobriété à la fois des usages (pour limiter l’effet rebond) et de la conception (un « techno-discernement » limitant la profondeur technologique croissante de nos moindres consommations, c’est-à-dire la complexité des chaînes de production qu’elles mobilisent).
Il analyse comment une économie qu’il qualifie d’« humano-centrée » permet de profiter des gains de productivité sur les dépenses courantes (hors logement) pour dépenser plus pour la santé, le bien-être, l’alimentation « qualitative », le divertissement, la sécurité, la mobilité et l’éducation.
Il faut pour cela qu’un État pilote, s’appuyant sur des initiatives locales et les stimulant, facilite la création d’une infrastructure collective (notamment pour l’accès à la santé, à l’éducation, à une mobilité à faible empreinte) et fournisse une grande masse d’emplois de tous niveaux d’accessibilité.
https://theconversation.com/changemen...isme-une-troisieme-voie-existe-169140
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@NDA: Point de vue complètement biaisé, comme je ne cesse de le répéter. Le cloud ne sert à rien sans terminaux & postes de travail, alors que vous pouvez faire des choses sur un terminal ou un ordinateur sans cloud voir même sans réseau. De plus le cloud a tendance à se transformer en "Edge", dont l'infrastructure sera certes plus près de vous, mais qui viendra s'ajouter à tout se bordel. La raison de cette transformation est simple : gérer la multiplication exponentielle des terminaux et objets connectés qui ne vont certainement pas faire l'affaire des écosystèmes. Perso je vois plutôt un avenir dans le pair à pair avec moins de centralisation et de gras d'infrastructure.
https://cloud-computing.developpez.co...et-meme-plus-si-son-adoption-continue
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